Il ne s’agit pas d’apprendre à faire le clown, mais plutôt de faire place à notre propre clown, notre propre manière d’être clown.
mettre en jeu nos émotions, nos fragilités et nos dimensions cachées en donnant la vie à un personnage sensible, naïf, imaginatif, en relation directe et complice avec ceux qui le regardent.
affirmer notre présence, notre écoute, notre potentiel de jeu, de communication et de création, notre acceptation de soi et de l’autre, notre sens de l’humour et de la dérision.
le travail du clown s’appuie sur l’improvisation, en contact avec l’instant présent, le concret, l’imaginaire, le partenaire et le public.
Pour cela nous nous appuierons sur le travail du masque neutre :
Ce travail aiguisera notre écoute, fera naître en chacun l’état de disponibilité, de calme et de réactivité qui constitue ce que l’on nomme «présence». Cette « présence » s’avérera nécessaire à un véritable développement des clowns.